Quand dire NON, c'est aussi dire OUI à soi-même.
Quand dire NON, c'est aussi dire OUI à soi-même
Dire non, ce n’est pas rejeter l’autre, c’est se choisir. Pourtant, combien de fois avons-nous dit oui par peur de blesser, de décevoir ou de perdre un lien ?
On tolère une situation qui ne nous convient pas. On ravale nos ressentis, jusqu’au moment où tout éclate : colère, frustration, silence radio. L’autre ne comprend pas toujours pourquoi, et pourtant, c’était inévitable.
Pourquoi cela se produit-il ?
Parce que nous n’osons pas poser nos limites au bon moment.
Prenons quelques exemples :
Je tolère d’être traité comme une option, recevant des nouvelles seulement quand ça l’arrange. Je me tais, jusqu’au jour où je coupe tout contact brutalement.
Je passe du temps avec mon/ma partenaire alors que j’ai besoin d’être seul.e. Je ne dis rien, mais au fond, je lui en veux.
Dans des cas plus extrêmes, c’est comme si, dans un rapport intime, quelqu’un disait « oui » en surface alors que son corps et son cœur criaient « non ». La frontière entre responsabilité personnelle et inconscience collective devient floue. Car à chaque fois que nous étouffons notre vérité, nous nous trahissons.
L’impact sur nos relations.
Ce schéma répété crée des tensions invisibles. L’un finit par exploser, l’autre par se sentir coupable ou manipulé. Et si, au lieu d’attendre d’être à bout, nous apprenions à dire non dès le début ?
👉 Dire non, c’est offrir à l’autre la chance de nous rencontrer véritablement.
Apprendre à dire non.
Dire non, c’est aussi une responsabilité. Celle de se connaître, d’exprimer clairement ses besoins et de ne plus attendre que l’autre les devine.
Car à force de dire oui à contre-cœur, on fait peser sur l’autre le poids de notre propre incohérence. Et on finit par lui en vouloir… injustement.
Alors, la prochaine fois qu’un « non » monte en toi, écoute-le. C’est peut-être le plus grand « oui » que tu puisses te donner.
✨ Et toi, arrives-tu à dire non sans culpabilité ? Partage en commentaire ou viens en parler avec moi !
