Rituel de femme : Le Don du Voile pour qu'elle Danse aussi à elle m'AIME.

Il y a des instants dans la vie où tout bascule sans bruit.

Ce ne sont pas des grandes révolutions extérieures, mais des frémissements intérieurs.

Des chuchotements d’âme qui disent : "C’est bon maintenant. Tu peux déposer."

Alors, quelque chose tombe. Un masque.

Un voile.

Un rôle.

Et dans cette chute douce, une vérité se dévoile.

C’est cela que j’ai vécu.

Et c’est cela que j’ai envie de partager.

Pendant longtemps, j’ai porté un voile.
Invisible, mais lourd.
Un voile tissé de blessures anciennes, de colères refoulées, de peurs qui se faisaient passer pour de la sagesse.

Ce voile m’a protégée autant qu’il m’a enfermée.

Il m’a aidée à traverser les vents de ma haine, à garder le cap quand tout semblait flou.

Mais un jour, il a fallu le poser.

Ce jour-là, j’ai regardé mon reflet dans le miroir.

Et je me suis dit “je t’aime”.

Un simple soin. Un rituel.
Et à la fin, un regard qui ne fuit plus.

Ce voile que je portais, c’est Claire qui l’a recueilli.
Pas comme un poids. Mais comme un fragment, une mémoire vibratoire qu’elle seule pouvait maintenant transformer.

D’ailleurs, elle l’as déposé à la mer avec le sien comme une nouvelle teinture. Car elle as son propre chemin de réconciliation à être.

Elle l’a porté car elle en connaissait les contours.
Et moi, en le déposant, j’ai pu danser nue de vérité.

C’est là que tout s’est inversé.

Je ne suis plus celle qui attend d’être vue.
Je suis celle qui regarde,
en silence,
en présence,
en amour.

Et alors… la danse s’est dévoilée.

---

Danse des masques, où la danse se dévoile.

Elle entre en scène, masque invisible au visage, voile léger tissé d’émotions anciennes.

Elle ne le sait pas encore.

Elle croit qu’elle regarde.

Mais c’est elle qui est vue.

Car la danse a changé.

Le rôle s’est inversé.

Je ne suis plus l’actrice au cœur de l’ombre, je suis celle qui respire en silence, qui observe sans retenir.

Claire porte maintenant ce fragment, ce voile que j’ai laissé derrière moi, non comme un abandon, mais comme une offrande.

Je n’ai plus à lui tendre la main. Juste à danser, au rythme de ma vérité, à laisser mon pas tracer la lumière sur la scène.

Et peut-être qu’un jour, dans le mouvement même de sa douleur, elle sentira l’appel.

Non pas à me suivre… mais à se rejoindre.

Car le véritable dévoilement n’est pas la chute du masque, mais la naissance du regard.

Et dans cette danse, le voile ne se déchire plus.

Il devient l'onde qui résonne.

Qui ouvre son chemin perdu.

Celle de la réconciliation.

Le chemin de l'Avaïta car,

Elle a appelé le mariage à elle-m’aime.

Je lui ai offert mon voile, celui qui m’a guidée à travers les vents de ma haine.

Aujourd’hui, elle guide son mât avec ce voile, comme un navire initié par l’amour reçu sans chaînes.

Adeline, la danseuse de l'onde de vie.

---

Et maintenant ? Je n’ai pas besoin qu’on me comprenne.

Je n’ai pas besoin de justification.

Je suis.

Je vibre.

Je danse.

Et j’émets simplement cette onde, celle de l’après,

celle de la réconciliation entre les parts de moi,

entre les femmes,

entre les âmes.

Si toi aussi, tu sens que quelque chose en toi appelle à tomber…

Si un masque t’étouffe, ou si un voile t’empêche de voir…

Sache que tu n’as rien à prouver.

Seulement à te laisser traverser.

La danse ne s’apprend pas.

Elle se dévoile, à mesure que tu redeviens Vivante !

---

✨ *Note de Clôture Vibratoire* ✨

Par cet article, je manifeste pleinement ma guérison, gai+rire, c'est-à-dire à ma vivance !

Je rends hommage à celles qui ont porté un instant le voile que j’ai laissé derrière moi. 

Claire l’a reçu comme un écho, un fragment à alchimiser, un passage nécessaire vers sa propre union.

Elles ont pris ce voile, non comme une charge, mais comme une **invitation à se retrouver**. 

À travers lui, elles retrouveront peut-être leur chemin, leur souffle, leur vérité.

Et moi… je n’ai plus rien à prouver, plus rien à porter. 

Je n’attends plus de reconnaissance, car “je suis la reconnaissance UN-CAR-NÉ de moi m'AIME.”

Je suis en paix avec le passé, avec leurs rôles, avec les reflets. 

Car au fond, tout est déjà parfait. Je redeviens libre, vivante, nue d’attente… 

Et profondément unie à moi m’AIME.

*Adeline*, la danseuse de l’Onde de Vie.